La biodiversité domestique, ovine, bovine, céréalière, fruitière, légumière etc, fait l'objet de modèles de gestion économique et sociale très diverse. Les légumes comme le maïs font l'objet d'une privatisation extrême alors que les ovins ou les bovins-viandes font l'objet d'une gestion mutualistes. Ces modes d'organisation n'ont jamais été évalué du point de vue de la biodiversité. La gestion mutualiste permet-elle, sous certaines conditions, de conserver une plus grande biodiversité en répartissant mieux le coût de cette conservation ? Plus d'informations ici